Titre : Nemi
Auteur : Lise Myhre
Genre : Bande dessinée, Humour
Appréciation : Coup de cœur
Extraits :
Critique (un peu reprise de mon blog parce que j'avais la flemme d'en inventer complètement une autre) :
Si vous ne connaissez pas Nemi, c'est impardonnable, mais je vous pardonne quand même.
Nemi Montoya est une gothique (enfin, métalleuse, on a des groupes en commun, et j'aime pas qu'on dise que je suis gothique) célibataire (enfin, disons plutôt qu'elle trouve un mec par nuit parce qu'elle est sexy), fanatique de Tolkien, atteinte d'un grave complexe de Peter Pan, chocolat-addict, rêveuse de dragons, adepte des bars et des bières. Elle est en collocation avec son amie Cyan, est allergique a tout ce qui ressemble de près ou de loin à Céline Dion, fait peur aux enfants, gagne de l'argent en faisant du baby-sitting (et en racontant des conneries aux enfants qu'elle garde), a des moyens infaillibles pour faire fuir les témoins de Jéhovah, écoute Sisters Of Mercy, Dimmu Borgir, Darkthrone et Alice Cooper, est une végétarienne convaincue et peut recevoir jusqu'à cinquante rappels de factures en un mois.
Bref, c'est l'amie qu'on aurait tous rêvé d'avoir, et dans laquelle, au moin
s, on peut se retrouver (même si vous avez la fantasy, le metal et les teintures noires en horreur, et surtout si vous êtes une fille).
Quand je suis de mauvaise humeur, je lis trois ou quatre pages de Nemi, qui suffisent à me rendre le sourire. Le seul truc, c'est que dans les BDs, les problèmes de la vie quotidienne ne sont jamais très graves, tandis que les miens me paraissent moins drôles. Mais quand on écoute un peu ou beaucoup de metal et qu'on voit qu'on a à peu près les mêmes références que l'héroïne, on est content.
Lire Nemi, c'est comme, euh… déguster du chocolat. D'abord, le format strip ça fait comme les petits carrés qu'on laisse fondre sous la langue, et ensuite, l'humour de Lise Myhre est un euphorisant.
En prime, il y a des belles images comme celle-là à peu près toutes les quinze pages.
Bref, j'ai découvert Nemi il y a environ six mois (oui, il y a six mois j'étais aussi impardonnable), et depuis que le troisième tome est sorti en janvier, j'attends le quatrième avec autant d'impatience que le dernier Harry Potter au temps lointain où j'étais fan.
Nemi Montoya est une gothique (enfin, métalleuse, on a des groupes en commun, et j'aime pas qu'on dise que je suis gothique) célibataire (enfin, disons plutôt qu'elle trouve un mec par nuit parce qu'elle est sexy), fanatique de Tolkien, atteinte d'un grave complexe de Peter Pan, chocolat-addict, rêveuse de dragons, adepte des bars et des bières. Elle est en collocation avec son amie Cyan, est allergique a tout ce qui ressemble de près ou de loin à Céline Dion, fait peur aux enfants, gagne de l'argent en faisant du baby-sitting (et en racontant des conneries aux enfants qu'elle garde), a des moyens infaillibles pour faire fuir les témoins de Jéhovah, écoute Sisters Of Mercy, Dimmu Borgir, Darkthrone et Alice Cooper, est une végétarienne convaincue et peut recevoir jusqu'à cinquante rappels de factures en un mois.
Bref, c'est l'amie qu'on aurait tous rêvé d'avoir, et dans laquelle, au moin
s, on peut se retrouver (même si vous avez la fantasy, le metal et les teintures noires en horreur, et surtout si vous êtes une fille).
Quand je suis de mauvaise humeur, je lis trois ou quatre pages de Nemi, qui suffisent à me rendre le sourire. Le seul truc, c'est que dans les BDs, les problèmes de la vie quotidienne ne sont jamais très graves, tandis que les miens me paraissent moins drôles. Mais quand on écoute un peu ou beaucoup de metal et qu'on voit qu'on a à peu près les mêmes références que l'héroïne, on est content.
Lire Nemi, c'est comme, euh… déguster du chocolat. D'abord, le format strip ça fait comme les petits carrés qu'on laisse fondre sous la langue, et ensuite, l'humour de Lise Myhre est un euphorisant.
En prime, il y a des belles images comme celle-là à peu près toutes les quinze pages.
Bref, j'ai découvert Nemi il y a environ six mois (oui, il y a six mois j'étais aussi impardonnable), et depuis que le troisième tome est sorti en janvier, j'attends le quatrième avec autant d'impatience que le dernier Harry Potter au temps lointain où j'étais fan.
1 commentaire:
Je ne connais pas Nemi. Je suis donc impardonnable. Mais tu me pardonnes ? J'espère bien ;-)
Si je tombe dessus, je lirais cette BD, j'te promet ! Bye !
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